Jeremy Irons commente six de ses rôles cultes

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CinémaJeremy Irons commente six de ses rôles cultes

L’acteur britannique est l’invité d’honneur des Rencontres 7e art Lausanne. Il se prête au jeu du «Petit oiseau va sortir».

Laurent Flückiger
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Laurent Flückiger

Interview: Laurent Flückiger Tournage et montage: Dimitri Mahon

Jeremy Irons est l’élégance même, une silhouette longiligne, une voix profonde, un acteur culte. À 74 ans, le Britannique compte presque une centaine de longs-métrages à son actif, des films d’auteur comme des blockbusters – vous en avez forcément vu au moins un. Et des séries.

Invité d’honneur de la 6e édition des Rencontres 7e art Lausanne, Jeremy Irons a reçu lematin.ch samedi. Après s’être étonné du peu de neige sur nos montagnes cet hiver – il a l’habitude de skier à Verbier –, il a commenté pour nous, en vidéo, six de ses œuvres parmi les plus reconnaissables: «La maîtresse du lieutenant français» avec Meryl Streep (1982), son premier rôle majeur, «Le mystère von Bülow» (1990), qui lui a valu l’Oscar du meilleur acteur, «Une journée en enfer» (1995), où il joue le méchant Simon Gruber face à Bruce Willis, la série «The Borgias» (2011), «House of Gucci» (2022) et enfin le film d’animation «Le roi Lion» (1994), où il fait la voix de Scar.

À noter que Rencontres 7e art Lausanne se poursuit jusqu’au 12 mars, avec notamment une masterclass avec Cédric Klapisch (jeudi, Casino de Montbenon), un concert de La Rumeur (jeudi, D! Club) et l’avant-première de «The Lost King» de Stephen Frears (vendredi, Pathé Flon).

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