TélévisionYann Marguet a sa chronique dans «Quotidien» tous les vendredis
L’humoriste lausannois rejoint la célèbre émission de TMC, dès le 8 septembre. Une réussite de plus à son actif à Paris, après France Inter et son spectacle.
- par
- Laurent Flückiger
L’émission «Quotidien» est revenue à l’antenne lundi 4 septembre pour une saison 8. Yann Barthès est toujours à la présentation, Étienne Carbonnier fait toujours transpirer. Et puis, il y a un petit nouveau qui nous intéresse tout particulièrement. Parce qu’il est Suisse, Lausannois: c’est Yann Marguet.
Dès le 8 septembre prochain, l’humoriste romand viendra sur le plateau de TMC tous les vendredis pour réaliser une chronique appelée «Vivement qu’on crève». «C’est dans la veine de ce que je fais habituellement, entre «Les Orties» et mon billet sur France Inter», décrit Yann Marguet au téléphone s’accordant une pause dans l’écriture pour nous parler. Il est «confiant» car, lors de son premier passage dans «Quotidien», «le ton était bon, les retours du public aussi».
Le Lausannois de 38 ans était en effet déjà venu fin mai dans «Quotidien» pour une chronique sur les jeunes et le porno. Test réussi. Yann Marguet a appris juste avant les vacances d’été qu’il était attendu dans l’émission à la rentrée.
Sur France Inter les jeudis
Une réussite qui lui demande un peu d’organisation. Depuis un an, l’ancien collaborateur du «Matin» passe sur France Inter, dans l’émission «Zoom Zoom Zen» de Matthieu Noël, les jeudis. «Le TGV Lyria me fait bien chier, alors je n’ose pas partir le jour même», s’agace-t-il. Il arrive à Paris la veille pour être en direct à la radio le lendemain. Désormais, le jeudi soir, il enregistrera son passage chez «Quotidien» qui sera diffusé vendredi, jour où il repartira à Lausanne. Mais ça, c’est quand il ne joue pas son spectacle «Exister, définition» à La Scène libre, dans le Xe arrondissement – ce sera le cas les mercredis, vendredis et samedis, du 5 octobre au 30 décembre prochains.
Yann Marguet n’envisagerait-il pas de faire carrière à Paris et de s’y installer? «J’ai tendance à ne pas trop planifier ce que j’aimerais. Jusqu’ici tout va bien. Et si je travaille bien et que des opportunités se présentent, il faut les prendre. Mais j’aime bien revenir à Lausanne, j’aime ma vie ici.»