Japon: un hélicoptère militaire disparaît avec dix personnes à bord

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JaponUn hélicoptère militaire avec dix personnes à bord disparaît des radars

L’armée japonaise a annoncé avoir perdu le contact, jeudi, avec l’appareil, alors que celui-ci se trouvait au large de l’île de Miyako-jima. La disparition est qualifiée d’«accident aérien».

L’appareil qui a disparu des écrans était un modèle UH-60JA des Forces terrestres d’autodéfense identique à celui photographié ci-dessus.

L’appareil qui a disparu des écrans était un modèle UH-60JA des Forces terrestres d’autodéfense identique à celui photographié ci-dessus.

Photo d’illustration/Wikipédia

Un hélicoptère militaire japonais avec dix personnes à son bord a disparu des radars, jeudi près d’une île de la préfecture d’Okinawa, dans le sud du Japon, a annoncé l’armée nippone. Le contact avec l’appareil a été perdu vers 16 h 30 (9 h 30 en Suisse), a déclaré un responsable, pour ce que les Forces terrestres d’autodéfense (GSDF) ont décrit comme un «accident aérien».

«Nous continuerons à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour sauver le plus rapidement possible toutes les personnes qui se trouvaient à bord… en utilisant les navires et les avions des forces maritimes et aériennes d’autodéfense, ainsi que les navires de patrouille des garde-côtes», a dit à la presse Yasunori Morishita, un chef des GSDF.

Une partie de l’appareil aurait été retrouvée

Un objet qui semble être une partie d’un véhicule aérien a été découvert, mais on ignore pour l’instant s’il a trait à l’hélicoptère recherché, a aussi indiqué Yasunori Morishita. Deux pilotes, deux mécaniciens et six autres passagers étaient à bord, dont un général des GSDF, a-t-il précisé.

L’hélicoptère appartenait à des effectifs de la région méridionale de Kumamoto, avait auparavant affirmé la télévision publique NHK. Après avoir décollé de l’île de Miyako-jima avant 16 h locales, il était censé revenir au bout d’une heure de vol, selon NHK. «Sauver des vies est notre priorité absolue», a dit le Premier ministre Fumio Kishida à des journalistes.

(AFP)

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