DrameMort de Mava Chou: son conjoint raconte leur troublante dernière conversation
«J’ai tenté une réanimation», révèle-t-il dans une vidéo postée sur YouTube.
Mava Chou est malheureusement décédée le 22 décembre 2021 à l’âge de 32 ans. C’est sa meilleure amie Marion qui avait partagé la triste nouvelle sur les réseaux sociaux le lendemain. La maman de 4 enfants était connue pour ses vidéos YouTube sur sa vie de famille et avait également participé à l’émission «On a échangé nos mamans», sur M6.
Si les circonstances du drame n’étaient alors pas dévoilées, on apprenait par la suite qu’elle était victime d’un «harcèlement en meute» selon les mots de Jeremstar. Elle avait d’ailleurs enregistré une émission pour «Sept à Huit» afin d’en parler et elle avait déposé une plainte contre son ex-mari Adrien Czajczynski le jour de son décès. Quelques jours plus tard, ce dernier s’était exprimé pour la première fois, dénonçant un «harcèlement massif» à son encontre depuis le drame.
Ce lundi 17 janvier, Romain, compagnon endeuillé de Mava Chou, a pris la parole sur la chaîne de Jeremstsar pour revenir sur les circonstances du drame. «Elle m’a dit au téléphone: «Je vais fermer les yeux», se souvient-il à propos du 22 décembre. «Elle venait de me dire qu’elle était fatiguée. Donc je lui ai proposé d’aller se reposer. Je lui ai dit de ne pas se faire de souci, que j’allais m’occuper des enfants et qu’elle nous rejoindrait quand elle se réveillerait, quand elle se serait reposée. Elle m’a répondu: «Oui, je vais aller fermer les yeux.» Sur le moment, cette phrase n’avait pas le sens qu’elle peut avoir aujourd’hui.»
«Je tremblais, j’étais en état de choc»
Comme il le révèle, c’est lui qui découvrira le drame en se rendant au domicile de celle qui est originaire de Genève: «Après ce dernier échange téléphonique avec elle, je rentre du travail entre 17 h 30 et 18 h 00 et, à ce moment-là, je décide d’appeler Maëva pour avoir des nouvelles, savoir si elle a pu se reposer.» Sans réponse, Romain est pris d’un mauvais pressentiment, d’une «sorte d’angoisse». «Malheureusement, quand je suis arrivé, derrière la baie vitrée, j’ai vu et compris ce qui se passait. J’ai immédiatement prévenu les secours, j’ai dû ouvrir la baie vitrée à coups d’épaule et j’ai tenté une réanimation, qui n’a malheureusement servi à rien. Je me tenais debout. Je tremblais, j’étais en état de choc.»