FranceÉdouard Philippe sur sa maladie: c’est juste une «histoire de poils»
L’ancien premier ministre français a expliqué que son alopécie n’est «ni douloureuse, ni dangereuse, ni contagieuse, ni grave».
- par
- R.M.
En plein débat sur la réforme des retraites, l’ancien premier ministre français Édouard Philippe a accepté de s’exprimer sur son apparence, car il s’agit d’une question qui revient sans cesse. Atteint d’une alopécie, le Français perd sa pilosité, qui blanchit. Il a dédramatisé, soulignant que sa maladie n’est «ni dangereuse, ni grave».
«Je suis atteint de ce qu’on appelle l’alopécie. J’ai perdu mes sourcils et je crois qu’ils ne reviendront plus. Ma barbe est devenue blanche et elle tombe un peu. Mes cheveux tombent aussi. La moustache est partie», a-t-il expliqué sur BFMTV. Mais cette maladie n’est «ni douloureuse, ni dangereuse, ni contagieuse, ni grave», a-t-il souligné.
«J’en souffre à 52 ans, mais il y a des gens qui sont frappés d’alopécie à 15 ans, ce n’est pas du tout la même histoire. C’est facile pour moi, j’ai de la chance», a enchaîné le maire du Havre. Et de dire à ceux qui sont atteints comme lui que «l’essentiel, ça n’est pas la façon dont on les regarde, c’est ce qu’ils sont.»
Édouard Philippe a encore noté que le stress, dû aux «responsabilités» était peut-être à l’origine de cette maladie. Et de définitivement dédramatiser: «C’est une histoire de poils, après tout.»