Une ex-élève de «Star Academy» comme professeur de la nouvelle saison?

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TélévisionUne ex-élève de «Star Academy» comme professeur de la nouvelle saison?

Une rumeur circule sur le futur professeur de chant du télé-crochet de TF1. L’ancienne candidate répond.

F.D.A.
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Nikos Aliagas avec les élèves de la saison 1 de «Star Academy»

Nikos Aliagas avec les élèves de la saison 1 de «Star Academy»

AFP

Pour la nouvelle saison de «Star Academy», qui sera de retour l’automne prochain, le public ne retrouvera pas Kamel Ouali, Oscar Sisto ou encore la professeure de chant, Armande Altaï. La production compte miser sur de nouveaux visages pour cette saison dont l’appel à casting est un gros succès. Si pour l’heure, aucun nom de prof n’a officiellement été annoncé, l’une des anciennes candidates du programme emblématique a brisé le silence en story Instagram.

Il se murmurait que Lucie Bernardoni, finaliste de la saison 4 face à Grégory Lemarchal, avait été recrutée pour être professeure de chant. Mais l’épouse de Patrice Maktav, candidat de la saison 1, a souhaité éclaircir la situation. «Personne ne m’a contactée pour intégrer le corps professoral de «Star Academy». Soyons honnête: je ne suis pas assez reconnue pour cela. Et je n’ai pas le même poids qu’une artiste reconnue pour être contactée. C’est ainsi et je l’accepte. Car à leur place, je n’aurais pas pensé à moi. J’en suis bien consciente. Alors, j’ai osé, pour une fois prendre mon téléphone. C’est moi qui ai demandé à être reçue par la production pour discuter de mon métier de professeure de musiques actuelles que j’exerce déjà. Je trouvais cela génial de devenir professeure au sein du château où j’ai vécu tant de choses», a-t-elle tout d’abord écrit ce jeudi 12 mai.

Reste à savoir si Endemol France est intéressée par la proposition. Pour l’heure, elle a confié «ne pas avoir été recontactée pour le moment». «Je trouvais ça normal de rectifier les choses. S’il y a une suite, ou non, ça ne dépend pas de moi, vous l’aurez compris. La seule chose qui dépend de moi, et que je n’aurais pas fait avant, c’est que je n’attends plus que l’on me donne des opportunités qui m’intéressent. Je les provoque. Surtout, si je sais que j’ai travaillé (beaucoup) pour me permettre de le faire. On verra si j’ai bien fait», a-t-elle conclu.

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