ConfidencesHilaria Baldwin affirme que des ennemis ont tenté de détruire» son mari
L’épouse d’Alec Baldwin a partagé un long message sur Instagram pour parler de «la torture psychologique» subie par l’acteur.
Dans sa dernière publication Instagram, Hilaria Baldwin a affirmé que des «ennemis» ont cherché à «détruire» la vie de son mari, Alec Baldwin. La professeure de yoga de 38 ans, qui attend actuellement son septième enfant avec l’acteur, a partagé sur le réseau social une photo en noir et blanc du couple se câlinant au lit. En légende, elle parle notamment de sa relation avec le comédien et aussi, sans jamais les citer, des événements qui ont bouleversé leur vie ces deux dernières années.
En décembre 2020, la mère de famille a fait face à des allégations selon lesquelles elle aurait simulé son accent espagnol et trompé les gens sur sa nationalité, tandis qu’en octobre dernier, l’acteur et réalisateur de 64 ans a déchargé un revolver utilisé comme accessoire sur le plateau de «Rust», tuant la directrice de la photographie Halyna Hutchins et blessant le réalisateur Joel Souza.
Alec Baldwin a toujours clamé son innocence et a récemment déclaré qu’il avait «bon espoir» de ne pas être tenu pénalement responsable de l’accident.
«La partie la plus sombre est de voir en coulisse comment certaines de ces «affaires» peuvent fonctionner, et les coups qu’une personnalité publique prend pour s’exprimer sur ses convictions et aider les autres. Les ennemis de ces missions cherchent à te détruire, afin de minimiser ta voix et ton objectif. Ce n’est pas une nouvelle tactique… C’est aussi vieux que le monde… Pourtant, il est facile aujourd’hui, plus que jamais, de calomnier les gens et de sélectionner et assembler des éléments pris hors contexte», a-t-elle notamment écrit.
Et si Hilaria Baldwin n’a pas fait explicitement référence aux incidents dans son message, elle a loué son partenaire pour son «humanité». «Malheureusement, le fait d’avoir moi-même fait l’expérience de cette déshumanisation, nous amène à penser: «Combien de temps peut-on supporter avant de s’écrouler sous la torture psychologique?»