France: Touché d’une balle dans la nuque, un homme s’en sort

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FranceTouché d’une balle dans la nuque, un homme s’en sort

Dans l’Oise, un jeune homme a été pris pour cible par des coups de feu alors qu’il circulait en voiture.

R.M.
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La police ne sait pas pour l’instant pourquoi le jeune homme a été pris pour cible.

La police ne sait pas pour l’instant pourquoi le jeune homme a été pris pour cible.

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Un homme d’une vingtaine d’années a été ciblé par des coups de feu à Compiègne, dans l’Oise. Une balle l’a atteint à la nuque mais il a survécu. Il est même déjà sorti de l’hôpital.

L’homme était au volant de sa voiture samedi entre 0 h 30 et 1 heure du matin lorsqu’une autre voiture est arrivée derrière lui. Un de ses occupants a alors ouvert le feu.

Selon «Le Parisien», au moins deux coups ont été tirés. Une balle se serait fichée dans l’appuie-tête du conducteur. La seconde «a terminé sa course dans la nuque de ce dernier.» «La victime a effectivement été touchée par arme à feu derrière la tête», a confirmé Marie-Céline Lawrysz, la procureure de la République de Compiègne.

Balle pas retirée

Le ou les tireurs ont pris la fuite et le jeune homme a été rapidement conduit aux urgences. «Les médecins auraient décidé de ne pas retirer la balle pour éviter d’encourir tous risques de complications qui pourraient lui être fatales», écrit le quotidien français. L’homme aurait donc pour l’instant toujours une balle logée dans le cou.

«Son pronostic vital n’a pas été engagé. La victime est ressortie dimanche de l’hôpital et a été entendue. Elle a ensuite porté plainte. Elle n’est pas de Compiègne et ne connaissait pas le quartier. D’après ses dires, elle revenait de soirée et suivait ses amis en voiture quand c’est arrivé», a détaillé la procureure.

Le jeune homme touché n’a pas de casier judiciaire. On ne sait pas pour l’instant pourquoi il a été pris pour cible et aucune interpellation n’a eu lieu. Une enquête pour tentative d’homicide a été ouverte et confiée à la police. «Les investigations débutent et tout cela n’est pas très clair», a encore commenté Marie-Céline Lawrysz.

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