PoliStromae invité à une émission qui l’a inspiré: «Je ne sais pas si j’oserais»
Faustine Bollaert a convié le chanteur belge à venir parler dans «Ça commence aujourd’hui» sur France 2. Mais ce n’est pas gagné.
Le 2 mars, en pleine promo pour la sortie de son nouvel album, «Multitudes», Stromae avait révélé que sa chanson «Fils de joie» avait été inspirée par l’émission «Ça commence aujourd’hui» sur France 2. «Ma femme la regarde beaucoup, moi aussi je l’aime bien. Faustine Bollaert a reçu une fois des travailleuses du sexe et leurs enfants. Cela m’a touché. J’ai eu envie de raconter une histoire comme ça sur une musique alliant le baroque et les rythmiques des favelas», avait-il confié.
L’animatrice Faustine Bollaert avait alors déclaré sur Twitter sa fierté. Et elle ne s’est pas arrêtée là. De passage chez Fun Radio, vendredi, Stromae a reçu un message vidéo de la part de la présentatrice française. «Pour vous dire la vérité, depuis des années, je suis complètement fan de vous. J’étais à Bercy, il y a quelques jours pour vous voir sur scène et découvrir votre nouvel album. Et au moment où j’ai entendu la chanson, moi-même je me suis dit: C’est drôle, ça fait écho à l’une de nos émissions. Et en fait, c’était l’inverse», a-t-elle expliqué.
«Parler un peu de la vie avec nous»
Vous la voyez venir: Faustine Bollaert en a profité pour lancer une invitation au chanteur et à son épouse, Coralie Barbier. «Comme maintenant je sais que votre femme est fidèle de «Ça commence aujourd’hui» et qu’elle vous a entraîné dans tout ça, on aimerait bien que vous veniez dans notre émission pour parler un peu de la vie avec nous», a-t-elle lancé, ajoutant un argument convaincant: elle se prépare à apprendre par cœur le titre du chanteur.
Stromae a complimenté Faustine Bollaert: «On adore cette émission, Coralie et moi. Et je trouve qu’elle est vraiment très forte pour interviewer les gens. Elle est très respectueuse, très positive. Je trouve qu’elle fait ça super bien.» Avant de poliment botter en touche: «Je ne sais pas si j’oserais aller me mettre à nu, comme le font courageusement tous les gens qui y vont.»