Le «Mad Boat» en panne, les passagers débarqués à Pully

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Lac LémanLe «Mad Boat» en panne, les passagers débarqués à Pully

La croisière s’est un peu moins amusée dimanche, suite à une défectuosité du moteur. Les passagers fêtards n’ont pu rejoindre leur destination à Ouchy.

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«Le Lausanne» n’a pas pu débarquer ses passagers à sa destination finale

«Le Lausanne» n’a pas pu débarquer ses passagers à sa destination finale

Facebook/Mad Club – Lausanne

Le «Lausanne» était complet pour la dernière soirée «Mad Boat» de la saison, dimanche sur le Léman. Suite à  son départ de Lausanne et après avoir croisé au large de Villeneuve, où était donné un magnifique feu d’artifice, le navire de la CGN s’est retrouvé vers minuit incapable d’atteindre sa destination finale, Ouchy, suite à un moteur qui menaçait de rendre l’âme, rapporte l’organisateur de la croisière, le MAD Club – Lausanne.

Sentant que le navire ne parviendrait pas à bon port, le capitaine a dû prendre la décision d’accoster à Pully, à 5 minutes de navigation de Lausanne, et d’y faire  débarquer le millier de passagers en rouge et blanc, le code couleur de la soirée, venus faire la fête. La panne serait due à la pompe à essence, précisent nos confrères de «24 Heures». Ce n’est qu’après le départ des passagers qu’un moyen de fortune a été trouvé pour permettre au bateau de rejoindre les quais d’Ouchy.

Sur sa page Facebook, le Club présente ses excuses aux passagers pour cet incident indépendant de sa volonté. En guise de dédommagement, il offre une boisson au choix à tous les participants sur présentation de leur ticket Mad Boat du 31 juillet 2022. Cette collation – qui inclut cocktail et champagne, est-il précisé – est à faire valoir au MAD Club, au MadHouse ou au Mad Café jusqu’à la fin du mois d’août.

Ce n’est pas la première fois cette année que «Le Lausanne», le bateau «maudit» de la CGN enregistre une avarie, rappelle «24 Heures». En mai dernier, il avait été immobilisé par précaution à la suite d’un léger coup de mou de son moteur. Il était resté plusieurs jours dans l’attente d’une pièce de rechange. Une première croisière du Mad Club avait déjà dû être annulée.

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