Lorsque le fils de Charlie Chaplin a été «très cruel» avec Barbra Streisand

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RévélationsLorsque le fils de Charlie Chaplin a été «très cruel» avec Barbra Streisand

La star affirme, dans son autobiographie, qu’elle n’a pas donné de concerts pendant 27 ans, notamment à cause de l’attitude de Sydney Chaplin.

Fabio Dell'Anna
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Fabio Dell'Anna
Barbra Streisand et Sydney Chaplin en 1964, pendant les répétitions de la comédie musicale «Funny Girl».

Barbra Streisand et Sydney Chaplin en 1964, pendant les répétitions de la comédie musicale «Funny Girl».

Bettmann Archive

Barbra Streisand sort son autobiographie intitulée «Je m’appelle Barbra», ce 7 novembre. BBC l’a interviewée la veille en dévoilant, notamment, un incident entre la chanteuse et Sydney Chaplin. En effet, cet épisode avec le fils de Charlie Chaplin a empêché la star de 81 ans de donner des concerts pendant 27 ans.

Elle s’est souvenue du moment où tous les deux jouaient dans la comédie musicale «Funny Girl», à Broadway, dans les années 1960. «Je n’aime même pas en parler», a-t-elle déclaré. «Il avait le béguin pour moi. Ce n’était pas une situation inhabituelle. Je lui ai alors dit: «Je ne veux pas d’une relation avec toi.» Il a changé ensuite son attitude d’une manière très cruelle.»

Barbra Streisand a donné quelques exemples: «Il a commencé à marmonner dans sa barbe pendant que je parlais sur scène. Des mots terribles. Maudits mots. Et il ne me regardait plus dans les yeux. Vous savez, lorsque vous jouez, il est vraiment important de regarder l’autre personne et d’y réagir.»

Charles III l’a décrite comme «terriblement attirante»

Cette expérience a laissé l’actrice «troublée» et a contribué à lui faire arrêter la scène. Mais tout au long de sa carrière, elle a déclaré avoir également rencontré d’autres collaborateurs masculins qui se sont révélés problématiques. Comme le comédien Walter Matthau, qui l’a humiliée sur le tournage de «Hello Dolly!», en criant: «J’ai plus de talent dans mes pets que toi dans tout ton corps.» Ou encore le réalisateur de «A Star Is Born», Frank Pierson, qui qualifiait la comédienne de maniaque car elle exigeait constamment plus de gros plans.

Dans son livre, Barbra Streisand a aussi mentionné des hommes qu’elle a appréciés, au long de sa vie. L’acteur égyptien Omar Sharif lui écrivait de longues lettres passionnées la suppliant de quitter son mari. Elle a évoqué également le roi Charles III qui l’a décrite comme «terriblement attirante» et avec un «grand sex-appeal». Sans oublier Marlon Brando qui s’est présenté en lui embrassant la nuque, en lui disant: «Vous ne pouvez pas voir un dos comme celui-là et ne pas l’embrasser.»

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