FranceJean-Pierre Pernaut victime de «4 mini AVC» depuis le début de l’année
En plus de son cancer au poumon, le présentateur a d’autres soucis de santé. Sa femme en a parlé sur le plateau de «Touche pas à mon poste».
Jean-Pierre Pernaut a entamé une nouvelle bataille contre la maladie en 2021. Le journaliste de 71 ans souffre d’un cancer du poumon pour lequel il est actuellement traité. En plus des effets secondaires de sa radiothérapie, l’ancien présentateur du JT de TF1 connaît malheureusement d’autres problèmes.
Son épouse Nathalie Marquay était présente sur le plateau de «Touche pas à mon poste» ce lundi 24 janvier. L’ex Miss France a fait des révélations concernant l’état de santé de son mari. Depuis le début du mois de janvier, le journaliste a en effet été victime de «4 mini AVC» dont l’origine est introuvable: «C’est quand même bizarre parce qu’on ne trouve pas, on fait tous les examens possibles sur Jean-Pierre pour savoir d’où viennent ces mini AVC», a-t-elle confié.
Cela ne l’empêche pas d’avoir une petite idée sur la question. Le docteur Didier Raoult était aussi l’invité de Cyril Hanouna. Nathalie Marquay a profité d’une prise de parole du professeur concernant les potentiels risques et conséquences du vaccin contre le coronavirus pour faire part de ses craintes. Selon elle, il se pourrait que les mini AVC résultent des trois doses qu’il a reçues: «À l’hôpital, j’ai dit: «Écoutez, depuis qu’il a fait ce vaccin, huit jours après, il a fait ça. Est-ce qu’il y a un rapport?» On m’a répondu: «Non, surtout pas!»
Nathalie Marquay n’a rien contre la vaccination. Au contraire, elle s’est même fait vacciner à trois reprises. En revanche, plus le temps passe, plus elle s’inquiète concernant les effets secondaires: «Mon père s’est fait vacciner en même que Jean-Pierre. Huit jours après, il a eu un zona.» Elle-même a constaté qu’au lendemain de sa troisième injection, elle était positive à la Covid-19. Nathalie Marquay se fait donc naturellement du souci pour son fils Tom, dont la troisième dose était ce lundi 24 janvier: «Ça m’inquiète un peu» a-t-elle admis. Tout ce que Nathalie Marquay souhaite, c’est la vérité: «S’il y a un lien, il faudrait le dire.»