Laeticia Hallyday porte plainte contre «TPMP» pour injures publiques

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JusticeLaeticia Hallyday porte plainte contre «TPMP» pour injures publiques

Une de ses filles, Joy, a été injuriée à l’antenne par une chroniqueuse de Cyril Hanouna, a annoncé l’avocat de la veuve de Johnny Hallyday.

Dans une séquence de «Touche pas mon poste», Joy, l’une des deux filles de Laeticia Hallyday, est prise à partie par la chroniqueuse Kelly Vedovelli.

Dans une séquence de «Touche pas mon poste», Joy, l’une des deux filles de Laeticia Hallyday, est prise à partie par la chroniqueuse Kelly Vedovelli.

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Laeticia Hallyday a porté plainte pour injures publiques contre l’une de ses filles, Joy, pendant l’émission «Touche pas à mon poste» («TPMP») de Cyril Hanouna, a annoncé lundi 20 février à l’AFP Me Gilles Gauer, l’avocat de la famille.

Cette plainte, avec constitution de partie civile, a été déposée devant le doyen des juges d’instruction du Tribunal judiciaire de Paris.

Simultanément, un signalement auprès de l’Arcom, l’autorité de régulation des médias, a été lancé pour «violation de l’obligation de respect des droits de la personne» et «violation de l’obligation de maîtrise de l’antenne».

Kelly Vedovelli en cause

Le 30 janvier, «TPMP» a diffusé une séquence vidéo que Joy Hallyday, 14 ans, apparaissant notamment en maillot de bain, avait publiée puis effacée de son compte TikTok, mais relayée entre-temps par un faux compte usurpant son identité.

Kelly Vedovelli, l’une des chroniqueuses vedettes de l’émission de Cyril Hanouna, avait estimé à l’antenne que cette vidéo était «le summum de la vulgarité». «Pour moi, c’est hypervulgaire, avec sa langue, sa bouche, ses nichons… », avait-elle ajouté.

«Que ce soit elle ou une autre adolescente, tu peux pas faire ça! Parce ce que c’est la nouvelle génération, on a le droit d’être des «te-pus» («putes» en verlan) ? Non mais arrête», a dit encore Kelly Vedovelli.

Pour Me Gilles Gauer, l’avocat des Hallyday, «de tels propos outrepassent les limites admissibles de la liberté d’expression dès lors que leur victime est une adolescente âgée de 14 ans».

(AFP)

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