Pierrick Destraz et Virginia Markus, c’est fini

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Suisse romandePierrick Destraz et Virginia Markus, c’est fini

L’artiste, fils d’Henri Dès, et l’activiste antispéciste ont annoncé leur séparation dimanche sur les réseaux sociaux via leur association, Co&xister.

«Après quatre ans et demi d’une relation dont la qualité dépasse l’entendement, nos deux âmes font le choix de continuer leur route séparément», écrivent-ils

«Après quatre ans et demi d’une relation dont la qualité dépasse l’entendement, nos deux âmes font le choix de continuer leur route séparément», écrivent-ils

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«S’aimer et se dire au revoir. S’aimer, donc se dire au revoir.» C’est par ses mots, introduisant un long texte sur les réseaux sociaux via leur association Co&exister, que Pierrick Destraz et Virginia Markus ont annoncé dimanche qu’ils se séparaient. Le rockeur, fils d’Henri Dès, et la militante antispéciste sont tombés amoureux il y a quatre ans. Ensemble, ils ont fondé Co&xister, qui «a pour mission d’accompagner des humain-e-s et des animaux dans l’apprentissage d’une cohabitation respectueuse des besoins de chacun-e». Ils ont aussi repris une ferme de 5 hectares dans le Chablais vaudois où ils accueillent des animaux qui étaient destinés à l’abattoir.

«Aujourd’hui, après quatre ans et demi d’une relation dont la qualité dépasse l’entendement, nos deux âmes font le choix de continuer leur route séparément, peut-on lire. En partie, séparément. Car ensemble, nous continuerons à rire, pleurer, grandir. Ensemble, nous cohabiterons pour l’instant comme les meilleur-e-s ami-e-s que nous sommes depuis le début.»

«Voyager librement»

Dans l’immédiat, Virginia Markus poursuit «sa mission de vie» aux côtés des animaux. Pierrick Destraz partira ponctuellement avec son van aménagé «mettre à profit d’autrui les missions de vie qui se dessinent pour lui depuis quelque temps». Puis, tout en restant impliqué dans certains projets de l’association, il partira réaliser «son rêve à lui, celui de pouvoir voyager librement, sans contrainte ni agenda, se laissant porter par la spontanéité de la vie et des rencontres».

Virginia et Pierrick ont «le cœur confiant malgré la tristesse qu’il serait malhonnête de sous-estimer». «Nous continuons de nous aimer sans plus vivre une vie «en amoureux», mais en âmes alliées et amies, intimement reliées par quelque chose de plus grand», écrivent-ils.

(Lematin.ch)

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