France - Vaimalama Chaves agressée par une «quinzaine de jeunes gars»

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FranceVaimalama Chaves agressée par une «quinzaine de jeunes gars»

Miss France 2019 a vécu un terrible moment dans Paris. Les larmes aux yeux, l’ex-reine de beauté raconte comment elle a été piégée par une bande de mineurs.

Vaimalama Chaves a porté plainte.

Vaimalama Chaves a porté plainte.

Corbis via Getty Images

Vaimalama Chaves est apparue les larmes aux yeux sur Instagram ce samedi 25 septembre. «Chères femmes, aujourd’hui je suis en colère, je suis en colère parce que j’ai été agressée», confie-t-elle dans ses stories avant d’ajouter se sentir «faible» et «démunie». Trop choquée pour parler, Miss France 2019 écrit ensuite la terrible agression dont elle a été victime dans Paris.

L’une des stories postée par Miss France 2019. On voit la vidéo des agresseurs en haut à droite.

L’une des stories postée par Miss France 2019. On voit la vidéo des agresseurs en haut à droite.

Instagram

«J’ai été attaquée par une bande de moins de 18 ans, donc pas condamnables, mais ce n’est pas normal. Pourquoi devrions-nous nous taire? Je suis déçue de ne pas savoir quoi faire. Pour commencer, ils m’ont jeté des cailloux dessus. «Pour rigoler.» Quand j’ai confronté celui qui l’a fait, ils se sont regroupés autour de moi. Une quinzaine de jeunes gars qui n’ont aucunes valeurs, dont les parents semblent dépassés.»

«Ils ont essayé de voler mon téléphone»

Après avoir partagé une courte vidéo où l’on aperçoit les hommes qui l’ont piégée, elle précise ne pas avoir été reçue de manière très cordiale par les policiers qui, une heure après son agression, n’étaient toujours pas sur place. «Ça va elle n’a reçu que des cailloux», auraient-ils déclaré. Concernant son agression, la candidate de Danse avec les stars 2021 ajoute: «Ils ont essayé de voler mon téléphone, ils se sont amusés à m’en jeter davantage lorsque je partais. Ils m’ont entourée lorsque j’essayais d’appeler le 17. Je dis non.»

La jeune femme de 26 ans a annoncé avoir porté plainte. «La Polynésie m’a appris la douceur et la gentillesse, mais ici, tous mes acquis n’ont pas leur place, à Paris. Le respect n’existe pas. La tolérance non plus», confie-t-elle. Le lendemain matin, «les yeux enflés», elle espère que son agression sera prise en charge à la mesure de sa gravité et indique: «Je ne veux pas que quelqu’un d’autre ait à vivre ça.»

(Lematin.ch)

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