Ligue des champions de hockeyÀ l’exception de Rod, Genève au complet pour la finale
Jan Cadieux va pouvoir compter sur toutes ses forces vives, ce mardi soir (19h30), face aux Suédois de Skelleftea pour tenter de remporter sa première Coupe d’Europe.
Tanner Richard est de retour dans l’alignement genevois au meilleur moment, pour la finale de la Ligue des champions.
BASTIEN GALLAY / GALLAYPHOTOC’est un Genève-Servette au grand complet – à l’exception du capitaine Noah Rod, forfait jusqu’au terme de la saison – qui tentera de décrocher son premier titre européen, ce mardi soir (19h30), dans des Vernets qui afficheront complet.
Longtemps incertains, les internationaux suisses Marco Miranda et Tanner Richard sont finalement opérationnels pour défier les Suédois de Skelleftea en finale de la Ligue des champions. Les deux attaquants sont d’ailleurs alignés ensemble sur la deuxième triplette offensive des Aigles, aux côtés du Canadien Daniel Winnik.
Sans suprise, et comme le règlement de la CHL n’impose aucune restriction concernant le nombre de joueurs étrangers alignés, l’entraîneur grenat Jan Cadieux a décidé de titulariser toutes ses forces vives.
Jussi Olkinuora gardera ainsi les filets, alors que Robert Mayer sera le gardien remplaçant. Sami Vatanen et Theodor Lennström mèneront les deux premières paires défensives aux côtés respectivement de Giancarlo Chanton et Roger Karrer.
Valtteri Filppula est titularisé au centre de la première ligne, entouré de Vincent Praplan et Marc-Antoine Pouliot. Teemu Hartikainen et Sakari Manninen sont quant à eux alignés sur le troisième trio avec Alessio Bertaggia, alors que Daniel Winnik est présent sur l’une des ailes du deuxième bloc (voir ci-dessus).
À noter que plusieurs règles sont différentes pour cette finale de la Ligue des champions à celles en vigueur dans le championnat de Suisse. En cas de match nul au terme du temps règlementaire, les prolongations se jouent à trois contre trois sur des périodes de 20 minutes. Tant qu’aucun but n’est marqué, la prolongation continue. Potentiellement jusqu’au bout de la nuit.
Autre particularité, le déroulé des situations spéciales. Si l’équipe en avantage numérique marque, le power-play continue. En revanche, si l’équipe en infériorité numérique trouve l’ouverture, le jeu de puissance adverse prend fin. Si une formation inscrit un but alors qu’elle évolue à 6c5 alors qu’une pénalité est différée, un power-play est tout de même accordé.
Place désormais au jeu et aux émotions, dès 19h30, à la patinoire des Vernets.