TennisQuand Andre Agassi était jaloux de... Joey Tribianni
L'ancien tennisman américain a vécu une relation tumultueuse avec l'actrice Brooke Shields. Un tournage dans la Série Friends a même tourné au vinaigre.
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Le couple ultra médiatique de l’époque.
@ImagoNous sommes en 1996 et le show TV avec Jennifer Aniston, Courteney Cox, Lisa Kudrow, Matt LeBlanc, Matthew Perry et David Schwimmer cartonne depuis déjà deux ans. A tel point que des stars des petit et grand écrans - de Robin Williams à Bruce Willis, en passant par George Clooney et Jean-Claude Van Damme -, n'hésitent pas à venir y faire les guest stars. Parmi elle, l'actrice Brooke Shields y a aussi fait un passage remarqué.
Dans un épisode où elle jouait sous le nom d'Erika Ford, la New Yorkaise - qui se mariera à Andre Agassi l'année suivante et dont elle divorcera en 1999 - a participé à une scène où elle léchait les doigts de Joey Tribianni, le personnage joué par l'inénarrable Matt LeBlanc. De quoi faire sortir de ses gonds l'ancien No 1 mondial, qui assistait au tournage de la série à succès.
En tournée pour promouvoir un documentaire à sa gloire intitulé «Pretty Baby: Brooke Shields», l'actrice est revenue sur cet incident et ça a logiquement fait les choux gras de la presse nord-américaine. «Andre se trouvait dans la foule, assistant au tournage et il s’est emporté. Il a dit que tout le monde se moquait de lui et que, par ce comportement, je le ridiculisais», a-t-elle affirmé au «New Yorker». L'Américain, pris dans un rage folle, aurait ensuite démoli tous ses trophées! Quand on a gagné, comme lui à l'époque, deux Coupes Davis - dont une contre la Suisse -, les JO, Wimbledon et l'US Open, les dommages peuvent être particulièrement douloureux…
«Je lui ai dit: «c’est de la comédie! C’est quoi, ton problème?», a ajouté Shields, dans des propos traduits par le site québécois de TVA Sports. J’ai appris plus tard qu’il était dépendant au crystal meth à ce moment-là. Ainsi, ces agissements irrationnels avaient sûrement un lien avec cela. Ça m’a surchargée émotivement, car tout d’un coup, toute mon attention était portée vers lui.»