Étienne, le nouveau phénomène de «Pékin Express»

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M6Étienne, le nouveau phénomène de «Pékin Express»

Il a 52 ans, est médecin généraliste à Cannes, râleur et sosie d’Isabelle Balkany et a fait chauffer les réseaux sociaux, lors du retour de l’émission jeudi.

L. F.
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L. F.

La nouvelle saison de «Pékin Express» a débuté jeudi sur M6 avec seize nouveaux participants en binômes. Il y a des sportifs, des rêveurs, des farceurs… Pourtant, c’est un médecin cannois de 52 ans qui est devenu la coqueluche du jeu. Sur les réseaux sociaux, certains le voient même comme la future légende de «Pékin Express».

Voici Étienne, amoureux du soleil du Sud et absolument pas sportif. Avec Vanessa, il forme un duo d’inconnus et il a épaté dès qu’il a retiré son bandeau et découvert avec qui il parcourrait les hautes montagnes du Kirghizistan. «Ce n’était pas forcément le profil que j’attendais», lance-t-il aux caméras. Et d’ajouter: «J’aurais imaginé être avec quelqu’un de plus sportif. Bon, elle est peut-être sportive mais ça ne se voit pas en elle…» Âgée de 29 ans, Vanessa est une épicière aveyronnaise qui a soif de rencontres et dort chez l’habitant quand elle voyage. Au fond, le profil idéal pour «Pékin Express».

Sur Twitter, beaucoup ont fait remarquer qu’Étienne et Isabelle Balkany étaient en réalité la même personne. Pourquoi pas? Imaginer cette dernière faire sonner son bracelet électronique depuis le Kirghizistan nous fait plutôt marrer.

Il a découvert l’émission en y participant

Étienne s’est aussi distingué lors de la première séance d’auto-stop de la saison. Le médecin n’était pas dans ses baskets. «Je suis dépourvu, pour moi il n’y a pas de solution! (…) Je suis démoralisé», remarque-t-il. Bien sûr, Vanessa lui a demandé pourquoi il participait à l’émission. «Je lui ai dit: «Qu’est-ce que tu fous là?» «Pourquoi tu as fait le casting?» raconte-t-elle à «Télé-Loisirs». «Pékin Express», il ne connaissait pas plus que ça. C’est quelqu’un qui a découvert l’émission en y participant. Pour lui c’était trop, il ne pensait pas que ça serait si difficile, il n’avait pas mesuré ça.»

Pour le duel final, Étienne a donc logiquement été choisi comme le maillon faible à affronter: «Dès le départ, il râlait, ça le saoulait, il n’avançait pas», dit Sylvie pour expliquer son choix. Figurez-vous que c’est Étienne qui a gagné. Une légende, on vous dit.

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