Claudia Cardinale, l’ex-maîtresse de Jacques Chirac? Elle répond

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L’ex-président français avait dû faire face à des rumeurs de relations extraconjugales avec l’actrice italienne. Cette dernière est revenue sur l’affaire.

F.D.A.
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Claudia Cardinale a répondu une nouvelle fois à cette histoire dans le «Corriere della Sera» du 21 janvier.

Claudia Cardinale a répondu une nouvelle fois à cette histoire dans le «Corriere della Sera» du 21 janvier.

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Cette rumeur date de la fin des années 1990. Jacques Chirac, alors marié à Bernadette Chirac, entretiendrait une liaison avec Claudia Cardinale. C’est le 31 août 1997, le soir de la disparition de Lady Diana, que les soupçons font surface. Alors que son entourage le cherche pour le mettre au courant du drame, le président reste introuvable. Il se murmure ensuite qu’il était en compagnie de la célèbre actrice italienne au moment des faits.

Une relation extraconjugale dont les journalistes Christophe Dubois et Christophe Deloire avaient écrit quelques détails dans le livre «Sexus Politicus»: «À l’Élysée, Chirac apprécie, de temps à autre, la compagnie de Claudia Cardinale. La rumeur d’une liaison entre l’actrice italienne court le Tout-Paris. La comédienne (…) est obligée de démentir.»

«Chirac était très gêné»

Plus de vingt ans après les premières spéculations, la comédienne de 84 ans conserve la même version de l’histoire. Dans les colonnes du «Corriere della Sera» le 21 janvier dernier, elle indique que l’homme politique lui aurait écrit une lettre: «Chirac était très gêné à cause de cette rumeur. Il m’a écrit une lettre, que j’ai gardée, dans laquelle il s’en amusait. Mais il m’a aussi écrit qu’il était flatté.»

Concernant les photos sur lesquelles ils apparaissent ensemble, elle affirme que «ce sont des montages». Elle indique: «Ils ont enlevé le visage de mon ami Jacques Moisant et ont mis à la place celui de Chirac. On s’en est rendu compte parce que Moisant avait un goût excentrique pour les vêtements.»

Elle déclare ignorer «d’où est née cette histoire», mais ajoute: «Chirac m’avait décorée de la Légion d’honneur, et j’avais soutenu sa candidature publiquement. Ces deux éléments, associés à sa réputation d’homme à femmes, ont pu participer à la naissance de la rumeur.»

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