Anthony Delon s’agace d’un commentaire sur Ari Boulogne

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HéroïneAnthony Delon s’agace d’un commentaire sur Ari Boulogne

L’acteur avait publié un hommage envers le supposé fils illégitime d’Alain Delon, retrouvé mort le samedi 20 mai.

Dans la famille Delon, Anthony est le seul à avoir réagi publiquement au décès d’Ari Boulogne.

Dans la famille Delon, Anthony est le seul à avoir réagi publiquement au décès d’Ari Boulogne.

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Anthony Delon, le seul du clan à avoir réagi à la mort d’Ari Boulogne, a recadré un internaute. Samedi 20 mai, le fils d’Alain Delon avait rendu hommage au photographe qui a toujours affirmé être l’enfant du Guépard, ce que ce dernier réfute. «Repose en paix Ari. Une destinée tragique. Tristesse. Une pensée ce soir pour ses deux enfants», avait-il écrit.

La publication d’Anthony Delon sur Instagram a été largement commentée. Seulement, un propos l’a fait bondir: un internaute a écrit qu’Ari Boulogne est sûrement «au paradis avec sa mère chérie», la chanteuse Nico, du Velvet Underground. Pour rappel, celle-ci avait demandé à Édith Boulogne, la mère d’Alain Delon, de s’occuper de lui. Il a ainsi pris leur nom de famille, lorsque la famille Boulogne a officiellement adopté Ari en 1977.

«Vous savez, sa mère l’a mis dans l’héroïne à 14 ans. Il en parle dans son ouvrage. Le cas contraire, les choses auraient peut-être été différentes! On file pas de l’héro à son gamin de 14 ans… non?», a rétorqué Anthony Delon.

Partagé la même seringue

Nico, de son vrai nom Christina Paffgen, affirmait qu’Ari Boulogne était le fruit d’une liaison avec Alain Delon. Ce dernier l’a toujours nié, et refusé les tests ADN. Nico est décédée en juillet 1988 à Ibiza après une chute à bicyclette qui a causé une hémorragie cérébrale.

En 2001, Ari Boulogne évoquait son souvenir dans son livre intitulé «L’amour n’oublie jamais»: «Pour moi, c’était une très bonne mère. Elle m’a tout donné. Même la drogue, je l’ai vécue à fond avec elle sans que ce soit un problème. De mes 16 ans jusqu’à la fin, nous avons partagé la drogue, la même seringue. C’était une manière d’être ensemble», écrivait-il.

(Lematin.ch avec Cover Media)

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