ConcoursMiss France évolue: «Ce n’est pas qu’une fille qui déchire en deux-pièces!»
Nommée présidente de la société Miss France, Alexia Laroche-Joubert a fait part des changements qu’elle veut apporter dans «Le Parisien» de dimanche.
- par
- Laurent Flückiger
Mercredi 13 octobre, on apprenait l’arrivée d’un visage bien connu des téléspectateurs à la présidence de la société Miss France, dirigée depuis 2007 par Sylvie Tellier. Ce n’était autre qu’Alexia Laroche-Joubert, qui est à la tête d’Adventure Line Productions et aux manettes, notamment, de «Koh-Lanta». On pouvait alors imaginer du changement en vue dans le concours de beauté. Ce sera le cas, comme elle le dévoile dans l’édition du dimanche du «Parisien».
Alexia Laroche-Joubert confie qu’elle avait «un souci dans les précédentes éditions: on était trop dans un défilé Victoria’s Secret et de mannequins». Elle prévient: «Je ne veux plus cela.» La nouvelle présidente souhaite une Miss qui doit être «proche [des Français], aimer le contact, être en représentation, véhiculer des valeurs». «Ce n’est pas un rôle de mannequin!» affirme-t-elle. Et de décrire: «On verra davantage les participantes se raconter, expliquer leurs motivations pour comprendre ce qu’elles veulent en faire.» «La Miss, ce n’est pas qu’une fille qui déchire en deux-pièces!» insiste-t-elle.
«Un programme féministe»
La présidence de la société Miss France assure aussi que le concours est «un programme féministe» et «donne l’occasion à des femmes de tous les milieux sociaux, de toutes les régions, de vivre des choses incroyables».
Les changements seront visibles dès l’élection de Miss France 2022 le 11 décembre prochain à Caen quand Amandine Petit remettra sa couronne en jeu.