Remontée - Nabilla: «Laissez-moi vivre, s’il vous plaît, et vivez votre life!»

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RemontéeNabilla: «Laissez-moi vivre, s’il vous plaît, et vivez votre life!»

Attaquée par le journaliste Hugo Clément parce qu’elle a emmené son fils voir un dauphin, la star de la télé-réalité a poussé un coup de gueule.

Nabilla a laissé éclater sa colère sur Snapchat: «C’est chiant! Tu fais un bisou sur la bouche de ton fils t’es critiquée, tu vas voir un dauphin t’es critiquée, tu te fais cambrioler t’es critiquée.»

Nabilla a laissé éclater sa colère sur Snapchat: «C’est chiant! Tu fais un bisou sur la bouche de ton fils t’es critiquée, tu vas voir un dauphin t’es critiquée, tu te fais cambrioler t’es critiquée.»

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Farouche défenseur de la cause animale et militant écologique, Hugo Clément ne manque jamais une occasion de sensibiliser le public à ces problématiques. Alors bien évidemment, lorsque Nabilla s’est affichée sur ses réseaux avec sa petite famille dans un parc aquatique turc en train de serrer la nageoire de «Loulou le dauphin», le journaliste s’est dit qu’il tenait là l’occasion de toucher les millions d’abonnés de la star de la télé-réalité.

«Six millions d’abonnés et ça fait la promo de l’enfermement des dauphins. Enfermés dans des piscines pendant de longues années, ils souffrent», a commenté Hugo Clément.

«C’est vrai, j’ai craqué»

Il n’en fallait pas plus pour lancer la polémique, poussant Nabilla à désactiver les commentaires de la publication avant de sortir les griffes sur Snapchat.

«C’est chiant! Tu fais un bisou sur la bouche de ton fils t’es critiquée, tu vas voir un dauphin t’es critiquée, tu te fais cambrioler t’es critiquée. Laissez-moi vivre, s’il vous plaît et vivez votre life, a lâché Nabilla, visiblement très remontée. C’est vrai, j’ai craqué. J’ai emmené mon petit garçon d’un an et demi voir le dauphin. Et après on a fait la photo, comme tout le monde. Je peux pas le libérer. Si je vais voir le parc et que je leur demande de libérer le dauphin ils vont me dire quoi? Ils vont jamais vouloir, même si je le paye ou que je fais tout pour le libérer!»

(Cover Media / Lematin.ch)

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