Élodie Frégé révèle un souvenir très pénible de la Star Ac

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«La double peine»Élodie Frégé révèle un souvenir très pénible de la Star Ac

La gagnante de 2003 avait été blessée par la remarque d’une professeur.

«J’étais boulimique et elle me balançait ça devant des millions de gens», se souvient Élodie Frégé.

«J’étais boulimique et elle me balançait ça devant des millions de gens», se souvient Élodie Frégé.

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«Star Academy» va reprendre samedi 15 octobre, mais tout le monde n’y voit pas que des paillettes. Élodie Frégé, gagnante de la saison 3 en 2003, a évoqué un souvenir de l’émission qui l’a particulièrement marquée dans le livre «Toutes pour la musique», écrit par Chloé Thibaud et qui sortira le 20 octobre.

«Je devais chanter «Sans contrefaçon» de Mylène Farmer et, à ton avis, pendant que je disais «Je suis un garçon», qu'est-ce qu’ils avaient imaginé pour ce projet? Je dois porter des sous-vêtements affriolants, un corset pigeonnant, des collants, des jarretelles et des hauts talons», décrit-elle dans les pages de l’ouvrage qui recueille les récits de 15 femmes dans l’industrie musicale.

Après sa prestation, Élodie Frégé a aussi pris en pleine figure la violence d’une coach en particulier, Raphaëlle Ricci. «Mais putain, tu n’étais pas à l’aise du tout, comment est-ce qu’ils t’ont fagotée? T’avais des bourrelets sous les fesses!» lui avait-elle lancé. «J’étais boulimique et elle me balançait ça devant des millions de gens. C’était la double peine», se souvient la chanteuse.

«Je n’étais pas forcément aidée»

«À cette époque, je voulais à tout prix être jolie, parce que je ne me sentais pas attirante quand j’étais adolescente, j’étais plutôt drôle et première de la classe. J’avais ce truc en moi de vilain petit canard, résultat, dans l’émission, j’étais «trop». Je confondais «se mettre en valeur» et «charger la mule», et je dois dire que je n’étais pas forcément aidée», conclut Élodie Frégé.

«Star Academy» fait son retour samedi 15 octobre à 21 h 10 sur TF1 avec 13 candidats et notamment le Franco-Suisse Mosimann pour concocter un nouvel hymne.

(Lematin.ch / Cover Media)

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