Son chien sans laisse, Rishi Sunak se fait taper sur les doigts

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Royaume-UniSon chien n’a pas de laisse, Rishi Sunak se fait taper sur les doigts

À Hyde Park, à Londres, les chiens ne peuvent pas se promener en toute liberté. Cela vaut aussi pour le Premier ministre, ce qui a amusé les réseaux sociaux.

À Hyde Park, à Londres, les chiens sont censés être tenus en laisse…

À Hyde Park, à Londres, les chiens sont censés être tenus en laisse…

photo d’illustration AFP

Une vidéo montrant le chien du Premier ministre britannique, Rishi Sunak, se promener sans laisse à Hyde Park a donné lieu à un rappel des règles par la police, une nouvelle incartade embarrassante après le «Partygate» et le «Seatbeltgate». Les images, largement partagées sur le réseau social TikTok, montrent Nova, la chienne du chef du gouvernement conservateur, une labrador retriever, se promener à sa guise dans le parc royal londonien, après un gros plan sur un panneau stipulant que les chiens doivent être tenus en laisse.

Les images montrent ensuite l’animal tenu par le collier par Rishi Sunak, avant qu’une femme, qui semble être son épouse, Akshata Murty, ne lui remette la laisse. «Nous sommes au courant d’une vidéo montrant un chien promené sans laisse à Hyde Park», a déclaré un porte-parole de la police de Londres. «Un officier, qui était alors présent, s’est entretenu avec une femme et lui a rappelé les règles. Le chien a été remis en laisse.»

Selon la BBC, l’officier en question est l’un des membres de la protection rapprochée du Premier ministre. Le porte-parole de Rishi Sunak s’est refusé à tout commentaire.

Sans ceinture de sécurité

Premier ministre depuis fin octobre, Rishi Sunak a reçu une amende pour ne pas avoir porté sa ceinture de sécurité, alors qu’il tournait une vidéo à l’arrière d’une voiture, lors d’un déplacement dans le nord de l’Angleterre. Il avait reconnu une «erreur» et présenté ses excuses, avait déclaré Downing Street.

Quand il était ministre des Finances de Boris Johnson, Rishi Sunak avait reçu une amende dans le scandale dit du «Partygate», pour avoir été présent lors d’un rassemblement pour l’anniversaire du Premier ministre, en violation des règles anticovid.

(AFP)

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