Cyclisme: Chronique: «Une bonne pub pour le cyclisme féminin»

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CyclismeChronique: «Une bonne pub pour le cyclisme féminin»

La coureuse genevoise nous livre ses sentiments après la dernière étape du Tour de France Femmes qui s’est disputée dimanche avec une arrivée finale à la Super Planche des Belles Filles.

Christian Maillard La Super Planche des Belles Filles
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Christian Maillard La Super Planche des Belles Filles

Elle a disputé les Jeux olympiques de 2021 à Londres sur un canoé-kayak, elle était depuis dimanche dernier une coureuse du Tour de France Femmes dans sa nouvelle version. La Genevoise Élise Chabbey a terminé 11e de cette épreuve à 16’ 44” de Annemiek Van Vleuten. Elle nous raconte sa dernière étape avec sa formation Canyon SRAM Racing et ce qu’elle a vécu durant cette semaine depuis Paris jusqu’à La Planche des Belles Filles.

«Je n’avais certainement encore jamais autant souffert que samedi sur un vélo lorsque Annemiek Van Vleuten, qui était au-dessus du lot, nous a attaquées mais au final, quelle satisfaction avec la troisième place de notre leader Katarzyna Niewadoma et notre victoire par équipe dans ce premier Tour de France Femmes! Quant à moi, si on m’avait dit que je terminerais 11e du général, j’aurais signé tout de suite, même si ce n’était pas mon classement le plus important!»

«Je pense que ce Tour était une bonne pub pour le cyclisme féminin. Il y avait tous les jours beaucoup de monde sur les routes, dans nos montées où on nous a encouragées, mais aussi aux départs et aux arrivées. Ce n’était que du bonheur. Le parcours proposé était aussi vraiment réfléchi car il y en a eu pour tout le monde. Je pense que les gens ont apprécié le spectacle présenté toute la semaine.»

‹‹Avant de penser au prochain Tour de France, il y aura le Tour de Romandie féminin en octobre, à la maison, et, là, je me réjouis vraiment.››

Élise Chabbey, 11e de ce Tour de France Femmes à 16’ 44” de Annemiek Van Vleuten

«Ce serait cool que ce Tour de France Femmes débarque en Romandie l’an prochain avec une arrivée ou un départ chez moi à Genève, mais pourquoi pas à Lausanne ou ailleurs. Cette année nous sommes passés proche de la frontière avec l’Alsace où il y avait beaucoup d’Helvètes, dont ma famille et des amis. C’est chouette qu’il y ait un intérêt et des candidatures suisses!»

«Mais avant de penser au prochain Tour de France, il y aura le Tour de Romandie féminin en octobre, à la maison, et, là, je me réjouis vraiment. À bientôt.»

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