Hugo Clément se réjouit du départ des tigres de «Fort Boyard»

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France TVHugo Clément se réjouit du départ des tigres de «Fort Boyard»

Le journaliste, fervent défenseur des animaux, a salué ce «symbole important» sur les réseaux sociaux.

L. F.
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«Cette émission mythique n’en sera que plus belle!» s’est félicité Hugo Clément.

«Cette émission mythique n’en sera que plus belle!» s’est félicité Hugo Clément.

Phototele / Romain Rigal

Jeudi, la société ALP, qui produit «Fort Boyard», a annoncé le retrait des tigres de l’émission. Sa directrice, Alexia-Laroche Joubert, a expliqué qu’il fallait entendre une évolution des mentalités. Un accord a été trouvé avec l’éleveur et propriétaire des félins, Thierry Le Portier, ainsi qu’avec France Télévisions. «Nous allons lui verser une somme très importante qui lui assure la nourriture et les soins des tigres jusqu’à ce que nous avons prévu d’être leur mort naturelle», a précisé la productrice à 20minutes.fr.

Le journaliste Hugo Clément a salué cette nouvelle, vendredi matin, sur son compte Instagram. «Bonne nouvelle! Bravo Alexia Laroche-Joubert pour cette décision», a écrit l’ardent défenseur des animaux. «Lors de mes deux participations à «Fort Boyard» avec Alexandra Rosenfeld (ndlr.: son épouse et la mère de leur enfant), j’avais refusé de participer aux épreuves impliquant les animaux. Je suis donc très heureux de ce changement. Car au-delà du sort de ces tigres en particulier, il s’agit d’un symbole important: il n’y aura plus de tigres en cage visibles à heure de grande écoute», explique-t-il avant de conclure: «Cette émission mythique n’en sera que plus belle!»

Pas d’animaux captifs

En 2020, Hugo Clément avait justifié ainsi la demande qu’il avait faite à la production de «Fort Boyard»: «D’un point de vue éthique, je refuse de participer aux épreuves qui impliquent des animaux que ce soit les tigres, les insectes ou les reptiles. Je n’ai pas envie de m’amuser avec des animaux captifs à qui on ne demande pas leurs avis.»

Les jours des scorpions, grenouilles, rats et serpents dans la forteresse de Charente-Maritime pourraient bien être comptés.

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