Vie privéeOwen Wilson et la dépression, cette vieille compagne
L’acteur fétiche de Wes Anderson a confié à Esquire certains détails sur sa tentative de suicide en 2007.
Owen Wilson s’est exprimé dernièrement sur la façon dont son frère l’avait aidé après sa tentative de suicide en 2007. La star de «Serial Noceurs» avait été emmenée d’urgence à l’hôpital après que son frère Luke Wilson, acteur dans «La Revanche d’une blonde» l’eût découvert chez lui inanimé.
Dans un entretien avec Esquire, l’acteur a décrit la longue bataille contre la dépression qui a conduit à une issue qui aurait pu lui être fatale, et le rôle de ses deux frères à ses côtés. «Parfois, la vie est comme si elle était contaminée par Tom Hardy dans «The Revenant», un type cauchemardesque qui essaie de vous abattre même si vous semblez avoir le dessus, Le genre à souffler: "Ça ne ramènera pas ton garçon ou ton père ou les bons moments de ton passé". Et quand ce personnage redoutable pollue tes pensées, il faut juste s’accrocher et attendre que ça passe», a expliqué le comédien de 52 ans.
Owen Wilson a décrit à Esquire l’assistance quotidienne de son frère Andrew Wilson, qui est resté à ses côtés après sa tentative de suicide pour l’aider à remonter la pente, comme se lever avec lui chaque matin et écrire de petits programmes pour la journée afin que la vie lui semble gérable.
À l’âge de 11 ans
La dépression est une vieille compagne l’acteur fétiche de Wes Anderson qui est apparu dernièrement dans la série «Loki» sur Disney+. Il explique que tout a débuté à l’âge de 11 ans, lorsqu’il a commencé à se sentir envahi de pensées morbides.
Cependant, au cours des quatorze années qui se sont écoulées depuis ce jour d’août 2007, Owen Wilson estime qu’il a fait des progrès et se trouve en désormais en mesure d’apprécier davantage la vie.
«Je sais que tout a des hauts et des bas, mais quand on est sur une de ces vagues, il faut la chevaucher aussi longtemps que possible», a-t-il dit en ajoutant: «Je me sens plutôt reconnaissant, même si le terme est souvent galvaudé».