Genève: Luc Barthassat joue de malchance avec le chat de ses parents

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GenèveLuc Barthassat joue de malchance avec le chat de ses parents

Piqué pas une bestiole, puis griffé par un chat, l’ancien conseiller national et candidat au Conseil d’État ne peut plus serrer des mains.

Eric Felley
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Eric Felley
Le candidat genevois Luc Barthassat

Le candidat genevois Luc Barthassat

L’ex-conseiller national genevois et candidat au Conseil d’État Luc Barthassat aurait-il pu être terrassé par une «vilaine bestiole» et un chat? Impensable pour cette force de la nature, qui a pourtant vécu une bien désagréable mésaventure depuis une douzaine de jours. Dimanche dernier, depuis son lit d’hôpital il a publié sur Facebook plusieurs images montrant sa main gonflée ou bandée. Il venait de subir une opération pour nettoyer sa main d’une infection qui avait pris des proportions alarmantes.

Encore affaibli par le traitement qu’il a subi, Luc Barthassat a raconté à «Blick» le fin mot de l’histoire. Il y a environ deux semaines, il s‘est fait «bouffer la main par une araignée, ou quelque chose du genre. Ça m’a démangé, puis ç’a gonflé — je suis allé à la pharmacie. On m’a alors donné un antiallergique, et les symptômes se sont dissipés au bout de trois jours.»

C’est là que l’histoire se corse pour celui que d’aucuns surnomment affectueusement «Barthachat». Quelques jours plus tard, il s’est rendu chez ses parents, où il a joué avec leur chat: «Je me suis amusé avec le félin, dit-il, qui m’a griffé la main à l’endroit de la première blessure. Sur le moment, la griffure m’a fait mal, mais ça n’a pas regonflé. C’est complètement fou: ce n’est qu’une semaine plus tard que les symptômes graves sont apparus!»

Samedi dernier, il s’est résolu à se rendre aux HUG pour se faire soigner. Bourré d’antibiotiques, il a pu rentrer mardi. Et dimanche, il devrait être d’attaque pour participer au grand raout des élections genevoises.

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