ConfidencesVirginie Efira picolait «pas mal» à l'adolescence
L'actrice de 46 ans s'est livrée sur sa relation avec l'alcool entre ses 15 et 17 ans.
- par
- F.D.A.
Dans un entretien accordé à «Society», Virginie Efira s'est confiée sur son penchant pour l'alcool durant ses années d'adolescence.
Entre ses «16 à 17 ans », l'actrice était serveuse dans une boîte de nuit parisienne, tout juste débarquée dans la capitale pour amorcer sa carrière d'animatrice sur la chaîne M6. Se retrouvant en terre inconnue, partagée entre une certaine timidité et un intérêt modéré pour le monde de la télévision, les nuits étaient pour elle une véritable bouée de sauvetage. «J'avais un faible pour ça, et puis je suis belge, c'est un peu notre carte de visite, si je puis dire: face à l'alcool, je me sentais solide. Rarement la gueule de bois. Peut-être pas assez pour me corriger», avoue-t-elle.
«Je n’ai jamais bu avant un direct»
Cette consommation d'alcool n'a jamais entaché son travail, assure la maman de deux enfants, mais a néanmoins eu des répercussions sur sa vie personnelle. «Je n’ai jamais bu avant un direct ou une scène de cinéma, mais en revanche, je buvais quand je sortais parce que j’étais dans un truc basique de quelqu’un qui voulait être aimé, mais qui ne se pensait pas super-aimable.»
En évoquant son désir d'écriture, Virginie Efira se remémore une anecdote de son adolescence. «Ça me fait penser à un truc que j’avais fait quand j’avais 15 ans. À l’époque, je picolais pas mal, j’étais en Corse et j’étais sûre que j’arriverais à composer des chansons en étant bourrée», confie-t-elle. «Et le lendemain matin, j’ai vraiment cru que j’avais composé «Lady Lay». C’est pareil aujourd’hui avec les scénarios. Si je veux écrire un truc de comédie, je vais voir les trucs évidents comme «Un jour sans fin» et après avoir écrit mon petit synopsis, je vais avoir le même degré de croyance que quand j’étais jeune et ivre.»