Déjà six délits de chauffards en Valais en 2024

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Via SicuraDéjà six délits de chauffards en Valais en 2024

Cinq hommes et une femme ont été contrôlés à des vitesses allant jusqu'à 66 km/h de trop.

Comm/M.P.
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La police valaisanne a eu du travail sur ses routes depuis janvier.

La police valaisanne a eu du travail sur ses routes depuis janvier.

Police cantonale valaisanne

Depuis le début de l'année, la Police cantonale a enregistré six délits de chauffards sur l'ensemble du territoire cantonal, communique-t-elle ce 5 mars.

Le premier a eu lieu le 13 janvier: un conducteur portugais de 18 ans roulait à 107 km/h au lieu des 50 km/h autorisés sur la route de Nendaz à Sornard.

Le 25 janvier, peu avant 23 heures, un automobiliste italien de 29 ans domicilié dans le Bas-Valais a été mesuré à 104 km/h au lieu des 50 km/h autorisés sur l'avenue de Fully à Martigny.

Deux au même endroit

Le 28 janvier, vers 14 h 30, un conducteur suisse de 58 ans domicilié dans le canton de Genève circulait sur la rue du Chablais à Collombey-Muraz. Il a été mesuré à une vitesse de 146 km/h au lieu des 80 km/h autorisés.

Le 11 février 2024, au même endroit, la Police cantonale valaisanne a enregistré un second délit de chauffard. Vers 15 h 30, un automobiliste portugais de 35 ans, domicilié dans le Bas-Valais, a été enregistré à une vitesse de 145 km/h.

Le jour de la Saint-Valentin, le 14 février, une automobiliste italienne de 21 ans, domiciliée dans le Valais central, a été enregistrée à 112 km/h dans une zone limitée 50 km/h sur la route Cantonale à Conthey.

Le 17 février, un Suisse de 54 ans domicilié dans le Valais central a été mesuré par la police régionale de Zermatt sur la route cantonale à Täsch alors qu'il circulait à une vitesse de 106 km/h au lieu des 50 km/h autorisés.

Tous les conducteurs se sont vu retirer leur permis de conduire sur-le-champ. Ils ont été dénoncés au Ministère public ainsi qu'au Service de la circulation routière et de la navigation. Ils risquent une peine d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à quatre ans ainsi qu'un retrait de permis d'au moins deux ans.

Des excès diffusés sur les réseaux sociaux

D’autres cas sont actuellement en cours d’investigations, s’agissant de hautes vitesses enregistrées par les conducteurs eux-mêmes puis diffusées sur les réseaux sociaux.

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