TélévisionChristophe Dechavanne sur Cyril Hanouna: «C'est du totalitarisme»
L'animateur de France 2 a dénoncé les méthodes de son confrère à son égard, après les accusations d'une ex-compagne.
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- Cover Media/L.F.
Pour Christophe Dechavanne, la limite est dépassée en matière de non-respect de la vie privée. Dans son viseur: Cyril Hanouna, qui a invité Nès, une ex-compagne de l'ancien animateur de «Coucou c'est nous!», à déballer leur relation intime sur le plateau de «Face à Hanouna».
«Tout d'un coup à la télé, il n'y a plus aucune règle, plus aucun respect, plus aucun voile entre la sphère privée et la vie publique. C'est du totalitarisme», s’est énervé Christophe Dechavanne vendredi 1er mars dans «Quotidien». «Si je n'étais pas fâché, ça me ferait rigoler», a-t-il ajouté, expliquant au passage: «Je l'ai félicité dans mon texto (…) parce qu'il venait de faire quelque chose de révolutionnaire, jamais vu à la télé.»
Cette révolution? «Il a, lui, animateur célèbre, invité une inconnue qui est restée huit semaines avec un homme, pour venir à la télévision sans aucune contradiction et dérouler un tapis qui n'est pas de couleur rouge sur un autre animateur qu'il connaît depuis trente ans», s’étrangle-t-il.
«On s’est servi de cette chère Léa»
La compagne de courte durée a aussi affirmé que Christophe Dechavanne disait du mal de Léa Salamé, avec qui il présente «Quelle époque!». Il a donc choisi de prendre la parole samedi dans l’émission de France 2. «Pour me faire mal et lui nuire, on s’est servi de cette chère Léa qui m’a tendu la main il y a un an et demi pour venir bosser avec elle», a-t-il dit.
«Je voulais juste mettre les choses au point pour que ce soit tranquille dans votre tête, a-t-il insisté face à sa consœur. C'est tranquille dans la mienne et je voulais que ce soit surtout tranquille pour les personnes qui auraient pu croire à des âneries pareilles.»
Défendu par ses filles
Il y a une semaine, les deux filles de Christophe Dechavanne ont pris la défense de leur père sur les réseaux sociaux.
«Je connais mon père et ses rapports avec les femmes, c'est un homme très attentionné. Je suis si triste de voir qu'une femme, vexée d'avoir été quittée, peut, par des mensonges, réduire une belle personne à un statut dégradant. Honte à elle», a écrit Ninon, 25 ans