Anthony Delon répond point par point à sa «chère frangine»

Affaire Delon, épisode numéro... On a arrêté de compter. Les enfants de l'acteur Alain Delon continuent de se déchirer à la vue de tous, médiatiquement et sur les réseaux sociaux. Le dernier coup d'éclat date de samedi 24 février. Il s'agit d'une réponse d'Anthony Delon à une interview de sa sœur, Anouchka, publiée dans «Elle» mercredi.

Le 22 février, le fils aîné avait déjà posté un message qui laissait peu de doute concernant la personne visée: «Les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît», suivi du hashtag «no limits». Cette fois, il répond point par point à Anouchka, qui racontait notamment plusieurs scènes qu'elle aurait vécues dans la propriété Douchy, où demeure Alain Delon.

C'est dans un long texte accompagné d’un zoom sur le livre «Les pires coups de pute» signé Arthur Anjou qu'Anthony dénonce une «interview calomnieuse» donnée par sa «chère frangine».

Premier point: les armes à feu. Selon Anouchka, ses deux frères se baladent armés dans la maison. «Tu as passé l’été à tirer au Glock avec ton chouchou, ex-GIGN et chef de la sécurité de Douchy, pour enfin ramener le pistolet chez toi à Genève «en souvenir de papa». Pour quelqu’un qui a horreur des armes, tu semblais bien vaillante et «douée» selon lui», écrit Anthony, qui assure ne plus se promener armé depuis longtemps.

Deuxième point: les images de leur père prises et diffusées sur les réseaux sociaux. «Depuis qu’il est souffrant, je ne l’ai jamais fait! Ou alors de dos. En revanche, tu ne t’es pas privée», assène Anthony. Il y a une semaine, leur frère, Alain-Fabien, a, lui, publié une vidéo d'Alain Delon barbu devant la télévision.

Troisième point: l’appartement dans le XVIe arrondissement de Paris que possède sa sœur. «Si cet achat m’avait posé problème comme tu sembles l’affirmer, je vous aurais envoyé bouler dès le début», assure-t-il.

Dernier point, Anthony revient sur l'enregistrement sonore d'Anouchka qu’Alain-Fabien Delon avait partagé sur les réseaux sociaux. «Des millions de gens t’ont entendu parler à un père vulnérable, fragile, de lui faire peur en le culpabilisant pour en tirer un avantage. Dur à assumer… Je comprends ton amertume», ironise-t-il.

Anthony Delon se demande, enfin, «en serions nous là aujourd'hui?» si sa sœur n'avait pas voulu emmener leur père en Suisse «dans un endroit où il n’a jamais mis les pieds». Il conclut son message par le hashtag «la Genevoise».