Jim fait à nouveau mouche avec une histoire d'ex

Jim commence la dernière partie de sa trilogie des ex. Après «Une nuit à Rome» et «Héléna», voici «Zoé Carrington». Et dans les histoires de l'auteur, c'est toujours l'homme qui déguste. Peut-être encore plus cette fois.

 Le début du récit se déroule à Londres, où des étrangers dans la vingtaine viennent y faire leurs études. Simon, un Français, s'éclate beaucoup. Et quand il croise le chemin de Zoé Carrington sur les bancs de la fac, il est subjugué. Il se dit qu'elle est un rêve inatteignable, mais c'est la jeune Anglaise qui fait le premier pas.

Débute une semaine de rêve, avec une véritable tornade, qui bouffe la vie et rêve d'explorer toutes les possibilités qu'offre le Kamasutra. Zoé, c'est une femme libre qui fait ce qui lui plaît. Alors quand débarque Léo, un type qui a tout pour lui, folie comprise, Zoé n'hésite pas une seconde et se précipite dans ses bras.

Dix ans plus tard, Simon et deux de ses amis sont invités à Londres par Zoé pour fêter les 30 ans de Léo, tous frais payés. Peut-on aller voir le bonheur de son ex au bras d'un autre? Simon se dit que oui, mais une incroyable surprise l'attend.

Encore une fois, Jim sait jouer avec les sentiments, ceux du lecteur compris. Ses femmes, Zoé aussi, évidemment, sont sublimes, et vraiment pas seulement que physiquement. «Pour Zoé, j'avais envie de créer un personnage qui ne pense qu'à l'instant T, qui ne navigue qu'à l'instinct», dit-il dans le dossier de presse. C'est réussi. Et il sait où ça fait mal chez les garçons. «J'aime bien l'aspect un peu loser des mecs, je crois que je trouve ça profondément romantique. Courir après quelqu'un qu'on estime plus haut que soit, plus inaccessible...»»

Simon a-t-il la moindre chance de retrouver un peu de l'amour perdu de Zoé? Réponse à venir dans le deuxième tome. Très attendu. Jim sortira un film au cinéma en 2024, «Belle enfant».